L'AVISO DES ASSOS - SEMAINE 20 – NEWSLETTER DU CESM
2022-06-02 11:00:00
hydros-alumni.org
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2022-06-01 20:59:51
2022-05-24 12:06:15
Yves-Noël Massac
Le CESM, Centre d’Études Stratégiques de la Marine, nous a fait parvenir sa Newsletter de la semaine 20 de 2022. Nous vous faisons donc partager ces informations concernant plus particulièrement la Marine Nationale. Vous trouverez un article sur l’Astrolabe, le navire ravitailleur des TAAF. L'actu de la semaine Chers amis de la Marine,Voici votre newsletter de la semaine 20 ! Le CESM a le plaisir de vous présenter... ACTUALITÉS MINISTÈRE DES ARMÉES 8 mai 1945 : la fin de la guerre en EuropeChaque année, le 8 mai, nous commémorons la victoire des alliés sur l’Allemagne nazie. En 1945, ce jour marque la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, la guerre la plus meurtrière que l’humanité ait connu. Revenons sur la genèse de ce jour si important pour la paix et l’unité en Europe.Le Troisième Reich s’effondre à la fin de la bataille de Berlin, le 2 mai 1945. La conquête de la capitale est symbolique, elle fera l’objet d’un compromis politique entre les alliés. Ainsi, conformément aux accords de Yalta, les troupes américaines arrêtent leur progression sur le front ouest. Ils laissent les Soviétiques pénétrer seuls dans Berlin.Le 2 mai 1945, l’armée rouge remportent la victoire sur les troupes allemandes dans la capitale du Reich. Voyant la défaite arriver, Adolf Hitler avait mis fin à ses jours quelques jours auparavant, le 30 avril. Dans les jours qui suivent, les dernières zones encore sous contrôle allemand, passent aux mains des alliés.Le 7 mai, au quartier général des forces alliées à Reims, le général Jodl signe la reddition totale de toutes les forces allemandes. A 2h41 du matin, il reconnait ainsi la capitulation sans condition des forces allemandes.« Le Haut Commandement allemand donnera immédiatement l’ordre à toutes les autorités militaires terrestres, navales et aériennes sous contrôle allemand, de cesser toutes les opérations actives à 23h01, le 8 mai »A Berlin, les commandements allemands et alliés signent l’acte de capitulation de l’Allemagne, le 8 mai. Le texte est similaire à celui de la veille, mais il ajoute une nouvelle clause : le désarmement complet de l’Allemagne. L’acte étant signé peu avant minuit, heure d’Europe occidentale, pour les russes il s’agit du lendemain matin. Ainsi, la victoire se fête le 8 mai chez les occidentaux, et le 9 mai en Russie.Ce jour marque la fin de la guerre en Europe, mais elle se poursuit dans le pacifique, jusqu’à la capitulation japonaise après les bombardements nucléaires de Hiroshima et de Nagasaki, les 6 et 9 août 1945. ACTUALITÉS MARINE NATIONALE Mise à l'eau du 1er bâtiment ravitailleur de forces : le Jacques Chevallier Deux ans après la découpe de sa première tôle, le bâtiment ravitailleur de forces (BRF) Jacques Chevallier était mis à l’eau le vendredi 29 avril 2022, au cours d'une cérémonie qui s'est déroulée aux Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire.De nombreuses autorités militaires et civiles étaient présentes dont le vice-amiral d’escadre Xavier Baudouard, commandant la Force d’action navale (FAN) et l'amiral italien Matteo Bisceglia, directeur de l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement (OCCAR).Quatre BRF prendront la relève des actuels bâtiments de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne et Somme. Ils assureront le soutien à la mer d’une force navale telle que le groupe aéronaval, constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle puis du futur porte-avions de nouvelle génération, ou des groupes d’action navale.Le renouvellement de cette capacité est indispensable au maintien de notre autonomie stratégique et pour permettre à la France de continuer à disposer d’une marine océanique, capable de conduire des opérations dans la durée, loin du territoire national.Plus performants, construits conformément à la réglementation en vigueur, ils seront livrés d’ici à 2029 et présenteront des capacités d’emport en fret presque doublées par rapport à la génération des BCR. Ils disposeront également de capacités d’action leur permettant de faire face à des menaces résiduelles ou asymétriques.Les quatre BRF porteront les noms d’ingénieurs du génie maritime contemporains : Jacques Chevallier, Jacques Stosskopf, Émile Bertin et Gustave Zédé.L’équipage d’armement du BRF Jacques Chevallier, créé le 14 janvier dernier, est actuellement composé de 30 marins et montera progressivement en puissance pour atteindre son format final de 130 marins en janvier 2023, avant de rejoindre Toulon, son nouveau port-base.Le Jacques Chevallier a désormais rejoint un quai d'armement où son achèvement se poursuit à flot, avant des essais à la mer au second semestre 2022, un déploiement de longue durée durant le second semestre 2023 et une admission au service actif prévue fin 2023. Visite du CEMM au CTM France Sud Le 14 avril, l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la marine s’est rendu sur le site du Centre de Transmission de la Marine (CTM) de France Sud. Il s’agissait de la première visite d’un CEMM depuis 1977.Mise en service en 1973, pour remplacer les installations de la marine à Mers El-Kébir en Algérie, cette unité est répartie sur deux sites, la Lauzette sur la commune de Villepinte d’une superficie de 34 hectares où sont implantées une station réception HF et une station d’ancrage satellitaire (SYRACUSE) et la Régine, d’une superficie de 147 hectares sur les hauteurs du Lauragais, dans la Montagne Noire, où sont installées trois stations d’émissions HF et LF. Depuis 1973, le CTM a connu plusieurs évolutions dont l’implantation de la station Syracuse en 1987 et celle de la station LF destinée à la mission de dissuasion nucléaire et aux transmissions de la FOST en 1994.A l’issue d’une réception protocolaire, l’amiral Vandier s’est adressé aux « marins d’outre-terre » comme il lui plaît de les appeler avant de visiter les infrastructures dédiées à la protection et aux transmissions opérationnelles et stratégiques.Véritable monstre d’acier, son antenne LF de plus de 330 mètres de hauteur, dont le sommet culmine à pratiquement 1000 mètres d’altitude, domine tout le Pays Cathare depuis la montagne Noire audoise . Elle est fixée au sol par 21 massifs d’ancrage représentant au total 5000 tonnes de béton.Cette station émission en bande LF (Low Frequency – Basse Fréquence) est appelée Solferino pour Station d’Onde LF d’Emission Radio Implantée eN Occitanie.La journée s’est conclue par un repas d’autorité au cours duquel le CEMM a rappelé le rôle vital qu’incarnent ces travailleurs de l’ombre, au profit de la dissuasion.Les forces sous-marines et la force océanique stratégique (FOST) disposent de quatre centres de transmission (CTM) répartis sur le territoire national : Rosnay, France Sud, Sainte Assise, Kerlouan. Relevant directement d’ALFOST, ils assurent en permanence les émissions au profit des sous-marins à la mer.Méditerranée centrale – La FLF Aconit s’entraîne avec les marines américaine et maltaise au large de Malte En patrouille en Méditerranée centrale et après avoir quitté la mer Adriatique, la frégate La Fayette (FLF) Aconit a réalisé le 26 avril, un entraînement commun avec le destroyer américain USS Ross, le patrouilleur maltais OPV P61, ainsi qu’un hélicoptère AW-139 des forces armées maltaises.Cette interaction d’opportunité, en amont de l’accostage de la frégate française et à la suite de l’appareillage du destroyer américain du port de La Valette (Malte), a permis d’entretenir la connaissance mutuelle et l’interopérabilité des trois marines au travers d’évolutions tactiques et de manœuvres aviations effectuées par l’hélicoptère maltais AW-139 sur la FLF Aconit.Déployée en Méditerranée occidentale depuis le 21 mars dernier, la frégate Aconit poursuit sa mission de surveillance des approches maritimes de l’Europe et assure la permanence de l’alerte opérationnelle en Méditerranée centrale et orientale. Malte est un point d’appui stratégique aux missions conduites par la Marine nationale en Méditerranée, notamment lors des relâches opérationnelles des unités opérant en Méditerranée centrale. Les deux pays sont par ailleurs déterminés à œuvrer ensemble au dialogue entre pays du bassin méditerranéen au sein de l'initiative 5+5 Défense. L’Astrolabe en mission de ravitaillement des îles ÉparsesL’équipage A de L’Astrolabe conduit une mission de Tournée de ravitaillement des îles éparses (TRDI) dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF).Parti le 25 avril de Port-des-Galets, le bâtiment a embarqué un hélicoptère de la société Helilagon, des militaires du 2e Régiment parachutiste d’infanterie de marine (2e RPIMa), du Service de l’énergie opérationnelle (SEO), de la base navale de Port-des-Galets et du Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS).Cette tournée a débuté par un premier arrêt devant l’île d’Europa, où l’équipage a récolté 70 m3 de déchets et transféré l’ensemble du matériel et des vivres nécessaires à la mission du détachement.La prochaine étape se fera à Juan de Nova, où près de 100 tonnes de matériel sont attendues. Cette mission interarmées, interservices et interministérielle illustre la complémentarité des moyens des FAZSOI pour la préservation des îles en soutien de l’administration des TAAF.L’Astrolabe ravitaillera par la suite l'archipel des Glorieuses, puis l'île Tromelin. Au total, cela représente 150 tonnes de matériels à délivrer et 100 m3 de déchets à évacuer afin de préserver la biodiversité unique de ces îles. VIVEZ MARINS Portrait de l’EV2 Druisin – officier-élève camerounais à bord du porte-hélicoptères amphibie MistralAprès un baccalauréat série « C » (mathématiques et sciences physiques) en 2016, j’ai réussi le concours d’entrée à l’école nationale supérieure polytechnique de Yaoundé où j’ai fait deux années de tronc commun (mathématiques, physiques et informatique) ; et une année au département de génie civil et urbanisme. Après ces trois années au supérieur, j’ai présenté et réussi le concours d’entrée à l’Ecole navale de Lanvéoc-Poulmic où j’ai intégré la promotion EN 2019. Au sorti de cette formation je recevrai mon diplôme de master 2 Ecole navale ainsi que les diplômes des formations maritimes et militaires effectuées durant les trois années de formation.La marine française fournit depuis plusieurs années déjà un soutien à la marine camerounaise, ceci se matérialise par les formations directement auprès des unités de la marine camerounaise (lutte contre la pollution, lutte contre les incendies et les exercices de visite de bâtiments suspects ou en infractions), la formation d’officiers de la marine camerounaise (1 à 2 officiers par an) comme c’est mon cas cette année, mais aussi lors de la mission Corymbe ainsi qu’à travers le centre Yaris basé à Brest qui est chargé de coordonner et échanger les informations entre les navires transitant dans le golfe de Guinée et l’architecture de Yaoundé.L’intérêt est l’apport de l’expertise et du savoir-faire de la marine française acquis sur plusieurs siècles, cette aide à la formation et au développement des moyens de navigation et de communication ayant pour but de renforcer les moyens et techniques déjà existants au sein de la marine camerounaise.Quelle a été votre motivation pour intégrer le parcours Ecole Navale ?L’opportunité d’intégrer l’Ecole Navale m’a permis d’y suivre une formation très complète. Dense et exigeante car c’est à la fois une école militaire et d’ingénieurs et de ce fait on est attendu à la fois sur les volets militaire, maritime et scientifique. La formation y est de bonne qualité et nécessite des apprenants de bons prérequis en mathématiques, sciences physiques, informatique et anglais. Les étrangers suivent le cursus master Ecole navale (dont je suis major) où les cours sont un mélange des autres filières ingénieurs et permettent d’avoir des outils diversifiés et une plus large plage de connaissances et compétences pour réagir face à un problème. La formation permet également de forger en nous le caractère d’un bon chef militaire qu’on est appelé à être, d’enrichir notre culture générale sur les espaces maritimes et de comprendre leur intérêt en géopolitique, et de développer en nous les valeurs de cohésion et l’esprit d’équipage qui sont des éléments importants pour les marins. Venant d’une école d’ingénieurs j’ai voulu rester dans un domaine qui devrait allier technicité, technologie et rigueur et de fait mon choix c’est porté sur la filière ENERG.C’est un parcours que je recommanderai sans hésiter à mes camarades : la qualité de la formation, la rigueur et le professionnalisme des différents formateurs sont au rendez-vous. Et les différentes activités de cohésion et de promotion assez régulières permettent de créer un très bon environnement propice à l’épanouissement, à l’intégration et au travail. Enfin, la mission Jeanne d’arc est l’occasion de découvrir de nouvelles cultures et terres, mais aussi et surtout de mettre en pratique dans un contexte opérationnel réel les savoirs appris pendant les deux années et demie de l’Ecole navale et c’est également pour nous, les OE la dernière chance de se tromper, de douter et de se questionner pour au sortie de cette mission être des officiers, des chefs aptes à servir et commander.Je garderai en mémoire tous les moments de cohésion et de promotion qu’ils aient été dans la joie ou dans la douleur, lors des périodes d’aguerrissement par exemple, mais aussi et surtout la mission Jeanne d'arc qui me permet de prendre pleinement part à la vie en équipage et aux activités opérationnelles tout en gardant un côté aventure et découverte.De façon globale ce parcours est très enrichissant tant sur le plan personnel que professionnel.Aujourd’hui vous participez à la mission Jeanne d'arc 2022, à bord du PHA Mistral, quel rôle occupe ce déploiement dans votre formation ? En tant qu’officier élève (OE), il existe deux périodes : période de cours et période de quart. Pendant la période de quart je suis les différents cours de formation humaine et militaire et de la spécialité ENERG (où sont principalement appris le maintien en condition opérationnel des bâtiments, leur entretien et leur exploitation optimale). Mais pendant la période de quart, je suis intégré à un service (service énergie) et au tour de quart. Dans le service, je suis formé à la vie courante de service et notamment à la fonction de chef de service et capitaine de compagnie en assistant aux différentes réunions et activités au côté du chef de service. Pendant les quarts, je suis en double avec l’officier de quart navire (OQN) où sont mis en pratique les différents cours de la spécialité ENERG, la culture des bonnes réactions d’urgence en cas d’avarie avec pour objectif avant la fin de la mission être apte à remplir tout seul la fonction d’OQN. J’effectue également indépendamment de la période des exercices sécurité pour être formé à diriger une lutte ou une intervention sur un incendie ou une voie d’eau.Le but final des cours et des quarts est de me rendre apte pour ma future affectation à intégrer rapidement les tours de quart et prendre les fonctions et les responsabilités tant militaire que technique dans un service.Avant la mission Jeanne d'arc, j’ai embarqué pendant environ trois mois (6 périodes de 2 semaines) sur les bâtiment-écoles de la marine nationale dans le cadre de ma formation maritime à l’Ecole navale. Sur ces bâtiments j’ai d’abord (en tronc commun de première année) été formé pendant un mois à la conduite d’un bâtiment en tant que chef de quart avant d’entamer effectivement ma formation d’ENERG. Dans le cadre même de la mission actuelle j’ai embarqué pendant un mois sur la FLF Courbet avant d’être transféré sur le PHA Mistral.Quelles sont vos intentions pour l’avenir ?Retourner au Cameroun et poursuive ma carrière d’officier, en mettant au profit de mon pays tout le savoir dans le domaine énergie et militaire acquis de la marine nationale avec le souci de contribuer chaque jour et au cours de mes différentes affectations futures à faire rayonner la marine camerounaise. Je souhaite être affecté sur un bâtiment de patrouille de la marine camerounaise afin de pouvoir mettre en pratique le savoir que j’ai acquis durant ma formation au sein de la marine nationale et ainsi contribuer directement sur le terrain à la sécurisation de l’espace maritime camerounais.ACTUALITES DU CESM ECHO - Épisode 19 | Terrorisme maritime : entretien avec le contre-amiral de Briançon (ALFUSCO)Il y a un an, les forces armées françaises ont conduit un exercice inédit de contre-terrorisme au large de la Crète, baptisé RHÉA. Celui-ci a notamment vu la projection de commandos marine à 2 000 km de leurs bases en quelques heures, afin de répondre à la prise de contrôle d’un navire de commerce par un groupe terroriste.La volonté de l’amiral Vandier d’intensifier la préparation opérationnelle de la Marine fût ainsi mise en lumière. Elle ne concernait cependant pas cette fois les engagements symétriques, mais les nouvelles menaces et les opérations en zones grises.Le volet maritime des menaces terroristes est relativement peu connu et parfois confondu avec la piraterie. Ce danger est cependant sérieux et pèse à la fois sur la sécurité de nos concitoyens et sur les intérêts français dans leur ensemble. De par la nature particulière du milieu maritime, la Marine nationale prend une place prépondérante dans la lutte contre cette forme de terrorisme.Comme lors de RHÉA, les commandos marine constituent la pointe de diamant des réponses au terrorisme maritime et, pour nous en parler, nous recevons aujourd’hui le contre-amiral de Briançon, qui commande la force des fusiliers-marins et commandos.L’épisode est à écouter sur la plateforme d’écoute de votre choix : https://linktr.ee/CesMarine ou en flashant le QR code. ECHO - Épisode 20 | L'intelligence artificielle au service de la Marine nationaleAujourd’hui, nous vous proposons un épisode en lien avec une technologie disruptive, une technologie qui bouleverse, fascine à la fois et qui soulève des réflexions de toute part : il s’agit bien sûr de l’intelligence artificielle.Pour cela, nous aurons le privilège d’en discuter avec M. Luc Julia, chercheur en intelligence artificielle dont les découvertes vont révolutionner notre futur. Il est l’inventeur de SIRI, l’assistant vocal bien connu, et travaille aujourd’hui chez Renault sur la voiture du futur. Du CNRS à la Silicon Valley, son parcours est multiple, mais toujours avec l’objectif de créer des applications et des services intelligents qui simplifieront la vie des hommes. Sa formation et ses recherches, si elles sont bien évidemment scientifiques, le conduisent aussi à prendre du recul et à réfléchir aux conséquences éthiques de ses découvertes.L’intelligence artificielle, issue d’Internet et du développement de capacités de calcul considérables, va dans un proche avenir bouleverser toutes les activités humaines dont bien sûr celles du monde maritime.L’épisode est à écouter sur la plateforme d’écoute de votre choix : https://linktr.ee/CesMarine. Aidez-nous à recruter les futurs auditeurs du Cycle d'études stratégiques de la Marine !Le Cycle d’Etudes Stratégiques de la Marine repart pour une nouvelle année.Si vous connaissez de jeunes cadres âgés de 30 à 40 ans, intéressés par les questions maritimes et les enjeux de la Marine, n'ayant pas de lien particulier avec la Marine, nous vous invitons à leur transmettre la plaquette de présentation publiée sur notre compte Linkedin : lien L'objectif est de les acculturer au monde maritime et de leur transmettre les éléments nécessaires à la compréhension de nos enjeux. Il s'agit d'une formation qui leur est adaptée, et qui tient compte de leurs contraintes personnelles et professionnelles.Les candidatures sont ouvertes jusqu'à mi-juin.Pour toute question, n'hésitez-pas à prendre contact avec l'EV2 Marie Scotto : marie.scotto@intradef.gouv.fr
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