Voilà 10 ans, depuis juillet 2013, que je baigne dans la technologie pour le monde maritime.
🌱 Ça a commencé en souhaitant agréger les données environnementales et réduire la consommation des navires de Bourbon, aux côtés d’Arnaud Dianoux.
Cela continue aujourd'hui chez Opsealog, pour faciliter la transition des acteurs du maritime.
Après un bout de chemin, deux constats sont clairs :
1- l’humain, au sein de son environnement, est l’utilisateur, et la technologie est à son service ☺️
Pas l’inverse.
On peut fournir toutes les données possibles, si on n’accompagne pas le changement, ça ne fonctionne pas.
La technologie a ses limites. L’usage que l’utilisateur en fait, sa remise en question, permet de l’améliorer constamment. Rester sur ses acquis et en pas écouter l’usager, c’est mourir.
2- l’usage de la technologie est trop précieux doit être dirigé vers des sujets essentiels 🎯
📉 Comme la réduction de l’impact environnemental et de la consommation de ressources
On peut offrir toujours du confort…
Envoyer des outils miner mars…
Faire toujours plus vite et toujours plus grand…
Planter des arbres dans le metaverse.
Mais… est-ce que cela apporte vraiment quelque chose ?
C'est ce que Philippe Bihouix appel le techno discernement.
🌊 L’océan de la technologie est passionnant.
Parfois dangereux, avec ses requins et ses vagues scélérates.
Mais finalement, il n’est qu’au service d’un océan encore plus beau et vital, et de ses acteurs ⚓
PS- une “vieille” photo prise en 2013 depuis les bureaux de la rue Sainte à Marseille.
Commentaires0
Vous n'avez pas les droits pour lire ou ajouter un commentaire.
Articles suggérés